Biography

ENGLISH

The practice of a meticulous craft, a fascination for ambitious compositions, a strong attachment to the art of songwriting, a desire to set a palette of emotions to music, ranging from assumed melancholy to contagious euphoria, openness to the world and more: Orouni shares so many values and desires with December Square that his presence within the family seems self-evident.

While some pursue experimental research reserved for experts and others lose themselves in their mad quest for global success, Orouni has long since decided not to choose. Or rather, to capture the best of both worlds. Record after record, he proves to us that intelligence and efficiency, quality and accessibility, requirement and emotion, can still co-exist in music.

Finally, things haven’t changed much since his first uncertain attempts on the family piano: even without a miracle recipe, he is always searching for a melody that is worthy of interest. The result: complex and singular, but instantly memorable pop songs that are both sophisticated and immediate with very communicative energy.

Vigorously creating music for both the ears and the brain, the heart and skin, Orouni differentiates between beliefs and certainties: he permanently questions himself, making the best out of each one of his projects. Passionate about architecture, a fan of cinema and literature, the 2011 winner of the Inrocks Lab is naturally attracted to original musical structures. Never taking the easy road and with great respect for his listeners, his mastered art of nuance allows listeners to enter his world by the door of their choice and gives them the time to discover its many subtleties; each of his pieces is a small world in itself.

From his solo debut at a festival in Aalborg (Denmark) to the success of Grand Tour, Orouni has never strayed from his convictions: the pleasure of imagining a song is as unique as the emotion of listening to the music of others. In Orouni’s music, the Kinks dance with Chassol, Belle & Sebastian dance with Dylan and Malian music plays with the Beatles. His already extensive discography makes room for melodies, whether vocal or instrumental, complex harmonies, and instruments that are rarely used in contemporary pop music (balafon, kalimba, mbira…) A luminous, organic and extremely caring music, with a little extra soul that makes all the difference.

In his fourth album, Partitions, recorded with his faithful musicians and Guillaume Jaoul as engineer, Orouni places his ambition a step further, making no compromise with pleasure or emotion.


FRANÇAIS

Pratique d’un artisanat minutieux, fascination pour les compositions ambitieuses, attachement profond à l’art du songwriting, volonté de mettre en musique une palette d’émotions allant de la mélancolie assumée à l’euphorie contagieuse, ouverture sur le monde et les autres : Orouni partage tant de valeurs et d’envies avec December Square que sa présence dans la famille sonne comme une évidence.

Alors que certains poursuivent une recherche expérimentale réservée aux experts, pendant que d’autres s’oublient dans leur folle quête d’un succès planétaire, Orouni a depuis longtemps décidé de ne pas choisir. Ou plutôt de saisir le meilleur des deux mondes. Disque après disque, il fait la preuve qu’intelligence et efficacité, qualité et accessibilité, exigence et émotion, peuvent encore faire bon ménage en musique.

Finalement, les choses n’ont pas tellement changé depuis ses premières tentatives incertaines sur le piano de la maison familiale : même sans posséder la recette miracle, il est toujours question d’aller conquérir une mélodie digne d’intérêt. Résultat : des chansons complexes et singulières, mais instantanément fredonnées, des évidences pop à la fois sophistiquées et immédiates, et une énergie très communicative.

Confectionnant avec panache une musique pour les oreilles et le cerveau, le cœur et la peau, Orouni fait bien la différence entre convictions et certitudes : il y a chez lui une remise en question permanente qui tire chacun de ses projets vers le haut. Passionné par l’architecture, féru de cinéma et de littérature, le lauréat 2011 des Inrocks Lab est naturellement attiré par les structures musicales originales. Ne cédant jamais à la facilité, ne tentant jamais d’infantiliser l’auditeur, son art maîtrisé de la nuance permet à chacun d’entrer dans son univers par la porte de son choix et laisse le temps d’en découvrir les nombreuses subtilités ; chacun de ses morceaux est un petit monde en soi.

De ses premiers pas en solo dans un festival à Aalborg (Danemark) au succès de Grand Tour, Orouni n’a jamais dérogé : le plaisir d’imaginer une chanson est aussi unique que l’émotion procurée par l’écoute de la musique des autres. Chez Orouni, les Kinks dansent avec Chassol, Belle & Sebastian s’encanaillent avec Dylan et la musique malienne s’invite chez les Beatles. Sa discographie déjà riche fait la part belle aux mélodies, qu’elles soient vocales ou instrumentales, aux harmonies complexes, et à des instruments peu utilisés dans la pop contemporaine (balafon, kalimba, mbira…). Une musique lumineuse, organique et terriblement bienveillante. Dotée de ce supplément d’âme qui fait toute la différence.

Avec son quatrième album, Partitions, entouré de ses fidèles musiciens et de Guillaume Jaoul à la réalisation, Orouni place son ambition encore un cran plus haut, sans transiger sur le plaisir ni l’émotion.