La vraie révolution vient de Dieu

J’ai découvert le Velvet Underground et Lou Reed que je préfère aux Beatles, car le Velvet procure une sensation de danger. Leonard Cohen fut mon grand héros.

Non ce n’est pas moi qui dis ça (j’aurais tout à fait pu, c’est ça qui est marrant), mais Tom Barman, leader de dEUS, dans le A Nous Paris de cette semaine (#281). Auteur d’une petite merveille en 1997, le groupe revient cet automne avec Pocket Revolution, un très bon album, où l’on peut justement sentir à la fois l’influence du Velvet (Pocket Revolution) et de Leonard Cohen (Nothing Really Ends). Je me réjouis de les voir demain en concert à l’Olympia.

Le jeu, par contre, est de trouver à qui appartient la citation du titre, qui colle miraculeusement bien avec ce post.

Premier contact

Le simple fait que le chanteur du Klub des Loosers boive du Martini blanc lors de ses concerts m’incite à me lancer dans le hip-hop.

Le fait qu’il porte un masque m’a bien plu aussi, une sorte de masque vénitien blanc qui ajoute à l’oppression et l’inéluctabilité des paroles.

Et puis ils samplent A Day In The Life des Beatles, alors…